« L'heure est grave » dit une lettre détaillée envoyée aux membres du CA de l'université, et signée par l'intersyndicale BIATOSS, enseignants et étudiants.
« Nous assistons à une mort lente de ce pourquoi nous nous étions engagés » poursuit-elle. « La force de la pensée scientifique, la créativité et même le droit à l’erreur sont autant d’atouts nous permettant d’inventer une nouvelle forme d’exercice du pouvoir ; un pouvoir qui n’érige pas la gestion comptable en dogme mais qui place l’humain au centre.»
La lettre se termine par cette formule étonnante pour qui a connu Vincennes : « nous vous demandons de bien vouloir nous accorder audience » ce qui s'oppose à « l’indifférence manifeste du Président de notre université. »
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Une autre lettre : À qui appartient l'avenir de Paris 8 ?
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