Durant
la semaine, deux étudiants élus ont été convoqués dans le cadre d'une
enquête préliminaire sur les mêmes motifs. Il semblerait que d'autres
étudiants mais aussi des personnels enseignants et BIATOSS pourraient
subir le même sort.
Demain, vendredi 8 juin,
l'étudiant interpellé arbitrairement le 11 mai est convoqué au
commissariat de Saint-Denis avec comme chef d'accusation : "violences
volontaires aggravées et séquestration".
Selon son avocat, il est fort probable que cette audition finisse par une garde à vue.
Pour
ne pas en arriver là, rassemblons-nous tous devant le commissariat de
Saint-Denis vendredi 8 juin à 14h (départ de l'entrée de l'université à
13h45).
Le comité de mobilisation et l'intersyndicale
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